Castor castré: Les grillades de juillet
En juillet, que fêtons ? En juillet, que fait-on ? En juillet que fait tonton ? En juillet, tonton fait comme tout le monde.
En juillet, que fêtons ? En juillet, que fait-on ? En juillet que fait tonton ? En juillet, tonton fait comme tout le monde.
Récapitulons, au cas où vous ne lisez pas les journaux et n’écoutez pas régulièrement les nouvelles. Depuis mon dernier article, que s’est-il passé? Quels évènements ont retenu l’attention et défrayé la chronique au cours de ces quinze derniers jours? Au Canada le quotidien n’offre rien de particulièrement nouveau. Les mêmes affaires minables dominent, avec moins…
Alors que notre nouvelle première ministre continue de sourire sans réserve et que le maire de Vancouver poursuit ses travaux à bicyclette, les Vancouvérois ont, de leur côté, sorti leurs sandales pour l’été.
Que vais-je faire ? Pour commencer me repentir. Voici donc mon mea-culpa : mes pairs, j’ai péché par orgueil.
Ce qui suit est le récit épicé d’un débat. Un débat qui a volé bien bas lorsque les candidats briguant (ou brigands, qui sait ?) le suffrage universel se sont rencontrés sur un plateau de télévision la semaine dernière.
Ca y est, c’est parti mon kiki. La campagne électorale en Colombie-Britannique a bel et bien commencé. Les hostilités de même.
Ce qui suit est une belle histoire d’amour.
Ca y est, c’est fait. Il y a un nouveau pape. François, un jésuite argentin. L’ami des pauvres, dit-on.
Voici, en offrande, le deuxième Épître de ma brève série consacrée à la papauté.
Le pape est peut-être infaillible, mais il n’est pas sans défaut, comme on a pu s’en rendre compte dernièrement avec sa soudaine démission ou plutôt, devrais-je dire, son abdication.
En février fêtons. Fêtons, pour commencer, le mois lui-même. Février le mois roi parmi les mois selon moi. Pensez-y Miss Daisy.
La trudeaumanie, vous y croyez ? C’est ce qu’on essaie de nous vendre et de nous faire avaler ces temps-ci. En fait, selon moi, il n’y a pas de trudeaumanie. Il y a une trudeaumanipulation.
L’année 2013. Nous y voilà. Après avoir évité de peu la fin du monde le 21 décembre dernier, nous sommes entrés, de peine et de misère, dans la treizième année de ce millénaire. Je m’étais, à ma manière, bien préparé, au cas où les Mayas savaient de quoi ils parlaient.
Fin décembre, l’année fait sa valise. Elle nous quitte pour toujours. Bon débarras.
Les goûts et les couleurs ne se discutent pas. Vraiment ?
Cela fait maintenant quinze jours que Barack Obama a été élu, ou plutôt, devrais-je dire, réélu.
Alors qu’en compagnie de ma compagne, je profitais, avant l’arrivée prochaine de l’hiver, de mes derniers jours à la campagne, mon attention s’est tournée vers d’autres campagnes, moins plaisantes mais plus prenantes : les campagnes politiques. Principalement, celles qui s’en viennent.
Ça y est. C’est fait. Nous nous en doutions et maintenant nous en avons la preuve. C’est confirmé. Lance Armstrong est un tricheur et un menteur. Il fallait des preuves. Elles sont arrivées comme un pavé dans la mare, avec de grosses éclaboussures.