Le pape ôté

Le pape est peut-être infaillible, mais il n’est pas sans défaut, comme on a pu s’en rendre compte dernièrement avec sa soudaine démission ou plutôt, devrais-je dire, son abdication.

La Trudeaumanie

La trudeaumanie, vous y croyez ? C’est ce qu’on essaie de nous vendre et de nous faire avaler ces temps-ci. En fait, selon moi, il n’y a pas de trudeaumanie. Il y a une trudeaumanipulation.

Très à craindre

L’année 2013. Nous y voilà. Après avoir évité de peu la fin du monde le 21 décembre dernier, nous sommes entrés, de peine et de misère, dans la treizième année de ce millénaire. Je m’étais, à ma manière, bien préparé, au cas où les Mayas savaient de quoi ils parlaient.

Choix d’un chef

Alors qu’en compagnie de ma compagne, je profitais, avant l’arrivée prochaine de l’hiver, de mes derniers jours à la campagne, mon attention s’est tournée vers d’autres campagnes, moins plaisantes mais plus prenantes : les campagnes politiques. Principalement, celles qui s’en viennent.

Le dopeur dopé

Ça y est. C’est fait. Nous nous en doutions et maintenant nous en avons la preuve. C’est confirmé. Lance Armstrong est un tricheur et un menteur. Il fallait des preuves. Elles sont arrivées comme un pavé dans la mare, avec de grosses éclaboussures.

Arrêtez ce cinéma

Profitant de la tenue du Vancouver International Film Festival, je me fais du cinéma. Ainsi, je me dis : il manque au VIFF (acronyme familier que s’est donné le festival) un symbole. Il manque quelque chose qui l’identifierait. Quelque chose de reconnaissable. Quelque chose qui dirait tout, d’un seul coup. Quelque chose d’étonnant et de remarquable. Une icône en quelque sorte. Hollywood a son Oscar. Cannes sa Palme d’or, Berlin son Ours d’or, Venise son Lion d’or, etc. Et à Vancouver, qu’a-t-on ? Rien de signifiant.

Pas content les mécontents

Notre monde passe par une mauvaise passe. Pour un oui ou pour un non, on se bat, on se dispute, on se plaint, on s’entretue, on se révolte, on s’immole, on s’insulte et, si ça continue, pour couronner le tout, on finira sans doute par se détruire.

Robert Zajtmann: Le castor castré

La joie des Jeux de Londres

Les Jeux de Londres 2012 ont commencé. Tant mieux. Depuis le temps qu’on en parlait, fallait bien qu’ils aient lieu. Quelle affaire. La fièvre olympique me donne une fièvre de cheval en attendant les compétitions d’équitation et mes actions en bourse ont plongé dès l’ouverture des courses de natation.

Robert Zajtmann

Le foot c’est le pied

Autant l’avouer d’emblée : je suis un fan de foot ou, si vous préférez, histoire de prouver que je suis parfaitement bilingue au cas où vous en doutiez, I am a sucker for soccer. En ce mois de juin 2012, je suis donc gâté pour ne pas dire comblé. Chaque jour, depuis le début du championnat d’Europe de football, je suis cloué devant mon écran de télévision.