En 2012, la ville de Vancouver lançait un appel d’offre pour un terrain situé sur la 1ère avenue et Columbia auquel s’intéressa la Maison de la francophonie. Après l’étude des lieux, il s’avéra que les locaux proposés par la ville ne satisfaisaient pas les critères que recherchait la Maison, principalement pour des raisons d’espace.

La Source a le regret de vous informer du décès d’Yves Bajard.Né en France le 12 octobre 1933, ce baroudeur passionné de ski était l’un des membres de la Société francophone de Victoria, et surtout l’un des premiers à avoir compris l’importance du développement durable et de l’écologie en Colombie-Britannique, dès les années 80.

Dans tous les discours des politiques du monde entier, la priorité c’est l’emploi. Pourtant, le gouvernement de Colombie-Britannique ne semble pas avoir pris la mesure du programme auquel il vient de couper les crédits.

Le 12 février prochain, le Conseil scolaire francophone ouvre ses portes aux parents désireux d’inscrire leurs enfants dans un de ses établissements.

Imaginons un instant que vous organisiez un grand évènement, salon ou festival. Les invités ont répondu favorablement, les premières places ont été vendues, la salle réservée, le traiteur commandé. Mais voilà, votre évènement se déroulera principalement en français, et vous vous trouvez présentement dans une province où la langue de Molière est minoritaire. Autour de vous, il y a des ads, des newspapers, des TV shows, mais bien peu de médias francophones, ou en tout cas, pas suffisamment pour vous donner la couverture dont vous avez besoin.

Le CA du CSF choisit un nouveau président

M Roger Hébert, ancien vice-président du CSF et élu de la région Sud-Est a été désigné comme nouveau président en remplacement de Mme Alexandra T. Greenhill. La vice-présidence elle, a été confiée à Mme Marie-France Lapierre, conseillère pour la région de la Vallée du Fraser. La présidence du CSF change chaque année, Mme Greenhill occupait son poste depuis novembre 2011. Sous sa présidence, le CSF a engagé une action en justice contre le gouvernement de la C.-B. pour obtenir une parité de traitement pour les services d’éducation en français. Il a également joué un grand rôle dans l’action des parents d’élèves de l’école Rose-des-Vents contre la province.

Pour notre communauté, l’année qui vient de s’écouler aura été riche en évènements, parfois réjouissants, parfois inquiétants.

C’est un « projet ambitieux » pour Christine Sotteau, Directrice générale sortante (DG) de la Fédération des francophones de Colombie-Britannique (FFCB), « une idée qui pourrait faire évoluer la Francophonie » pour Réal Roy, président du C.A. Le 19 novembre dernier, lors des rendez-vous des présidents et présidentes de la FFCB, M Christian Francey, Directeur général de la Société des Francophones de Victoria présentait un projet ayant pour but de restructurer profondément la francophonie provinciale.

Après avoir eu le triste privilège de devenir la seule province canadienne à ne plus avoir de journal entièrement en français, la Colombie-Britannique va-t-elle devenir la seule province sans Chambre de commerce francophone ? Par une série de coïncidences, l’ensemble des mandats du CA de la Chambre de commerce francophone de Vancouver (CCFV) se termine à la fin de l’année, et personne ne s’est présenté pour prendre la relève de l’équipe actuelle.

L’ancien doit-il s’effacer et donner du champ au nouveau ? Le nouveau se nourrit de l’ancien comme l’enfant du sein de sa mère ». Rien ne saurait être plus juste que cette phrase de l’écrivain malien Massa Makan Diabaté pour décrire la communauté des aînés francophones de Colombie-Britannique.