Au sujet de la tournée anti-sables bitumineux de Neil Young, je suis catégoriquement en désaccord avec Serge Corbeil dans sa chronique du 21 janvier 2014 intitulée « La tempête Neil Young déferle sur le Canada. »
Les forces derrière l’exploitation de cette ressource polluante sont tellement énormes que n’importe quelle résistance, que ce soit de groupes environnementaux, des communautés autochtones, ou de célébrités comme Young est nécessaire à mon avis.
Par ailleurs, l’argument que Young contribue à polluer durant sa tournée est invalide puisqu’il n’a aucune alternative que d’utiliser les technologies existantes à base de pétrole. Soit dit en passant, l’auto de Young est un modèle de collection qui a été converti à l’électrique. Il est vrai que le Gouvernement Harper ignore les voix critiques comme celle de Young, par contre le public canadien ayant une conscience sociale reconnaît son impact significatif.
Charles Leduc, Vancouver