Il n’y a que la grisaille qui m’aille
Il a beau faire beau par les temps qui courent, je me retrouve toujours, c’est triste à dire, malgré moi, en pleine grisaille. J’ai de bonnes raisons de l’être. Depuis la dernière édition du journal, il y a maintenant trois semaines de cela, l’univers dans lequel nous vivons s’est décoloré à vue d’œil. Le printemps…