Les grandes vacances dans la métropole du Pacifique
L’été à Vancouver vient d’atteindre des records de chaleur et d’ensoleillement.
L’été à Vancouver vient d’atteindre des records de chaleur et d’ensoleillement.
Le soleil est revenu en Colombie-Britannique. Les enfants courent dans le parc et les familles se retrouvent dans l’herbe autour d’un pique-nique pendant qu’un groupe d’amis fait son jogging quotidien le long du seawall.
Si l’hiver les ours hibernent, les Vancouvérois aussi.
Il est 19 heures et malgré la pluie, une multitude de petits groupes d’étudiants sont assis en terrasses de cafés.
C’était le vendredi précédant Pâques : Jour saint dans le calendrier catholique.
Le héros est synonyme d’invincibilité, d’excellence et de bravoure.
Toute société qui prétend assurer aux hommes et aux femmes la liberté doit commencer par leur garantir leur existence.» Le Canada, de par sa constitution progressiste, peut se vanter d’offrir un modèle d’encadrement fidèle à cette réflexion de Léon Blum, ancien homme d’état français.
Pauline fraîchement débarquée des Hautes-Alpes françaises n’en revient pas.
En Colombie-Britannique, la croissance rapide de Vancouver depuis l’Expo 1986 pourrait agir en trompe-l’œil sur le reste de la démographie du territoire.
Vieillir ! Redoutable mais toutefois inévitable, ce phénomène naturel démontre la suprématie du temps sur la matière.
On dit qu’il y a deux saisons à Vancouver : l’été, et la saison du Hockey. Cadre culturel canadien essentiel, au-delà d’un sport, le hockey représente un véritable vecteur d’intégration et de cohésion au sein de la grande mosaïque vancouvéroise.
Le chirurgien s’instruit aux dépens de l’orphelin, si ce proverbe arabe n’est pas dénué d’un certain humour, il peut aussi faire froid dans le dos. La première image qui vient à l’esprit à l’évocation du mot chirurgie, est celle d’un corps allongé sur une table d’opération, de sang et de la danse des bistouris orchestrée par les chirurgiens.
Vancouver regorge d’activités physiques et de plein air. Mais surtout elle entretient sa réputation de ville pet-friendly faite pour les animaux domestiques, et les chiens en particulier, et ouvre grand les bras à la race canine.
Après l’abondance des fêtes de fin d’année, c’est l’heure du bilan et des résolutions en tout genre, du coup les régimes trottent dans la tête de nombreux vancouvérois. Et tous ne suivront pas seulement l’obsession d’une perte de poids rapide. Nombreux sont ceux pour qui contrôler ce que l’on mange est un moyen efficace de rechercher un certain bien-être, de s’élever spirituellement, de poursuivre une idéologie ou de faire simplement le choix d’une santé plus saine.
Voilà c’est fini… Si l’on suit le calendrier Maya, ces paroles du chanteur Jean-Louis Aubert n’auront jamais été aussi vraies. A moins qu’on ne lise entre les lignes pour comprendre que tout n’est finalement qu’un perpétuel recommencement.
Si nos athlètes paralympiques ont pu nous rapporter autant de médailles durant les J.O. alors pourquoi ne faisons-nous pas plus confiance aux personnes à déficience physique sur le marché du travail ? Le terme handicap désigne officiellement la limitation des possibilités d’interaction d’un individu avec son environnement.
Kitsilano, vendredi 2 novembre, Mehdi Falaki, Marocain installé à Vancouver depuis 2009, organise une soirée entre amis. Si la communauté francophone du Maghreb et du Sud du Sahara est difficilement identifiable au quotidien à Vancouver : « La francophonie, c’est l’usage de la langue française comme instrument de symbiose, par-delà nos propres langues nationales ou régionales (…) malgré nos différentes civilisations. » C’est en ces termes que Léopold Sédar Senghor, considéré comme l’un des pères fondateurs de la francophonie, s’est exprimé.