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Ah! Enfin le printemps, les crocus, les perces neige, les cerisiers en fleurs, les magnolias, la fièvre de la voiture neuve…Les bornes de recharge électrique?
Au Salon international de l’automobile de Vancouver, Terry Lake, le ministre provincial de l’environnement annonçait le maintien du programme de remise de 2,500$ à 5,000$ sur l’achat d’un véhicule à énergie propre et de 500$ sur l’installation d’une borne de recharge domestique.
Je vis en Colombie-Britannique depuis près de cinquante ans. Est-ce le hasard ou le destin qui m’y a amené ?
Tiens donc, il me semble que le député Marc Garneau, autrefois candidat à la chefferie de son parti, a lu ma dernière chronique au sujet de la vague Justin Trudeau qui s’apprête à déferler sur le Parti libéral du Canada.
Ca y est, c’est fait. Il y a un nouveau pape. François, un jésuite argentin. L’ami des pauvres, dit-on.
En 1997, je suis redevenu citadin. Finies les banlieues et les villes de petites et moyennes tailles. Rien de tel que le West End pour vous immerger dans le tissu urbain de Vancouver.
On entend souvent dire que Vancouver est une ville « sans culture »… Sans culture historique peut-être… Mais avec un grand sens du
« mélange social » !
Ce n’est pas que l’on ne s’y attendait pas, mais Justin Trudeau devrait remporter haut la main la course au leadership qui tire à sa fin au Parti libéral du Canada.
Voici, en offrande, le deuxième Épître de ma brève série consacrée à la papauté.
Vancouver représente plusieurs choses : une métropole urbaine de classe internationale, une terre d’accueil pour les immigrants à la recherche d’une vie meilleure et plus encore. Mais, en ce qui me concerne, il s’agit de mon chez moi avant tout.
On discute beaucoup du rôle que jouent dorénavant les médias sociaux dans les campagnes électorales. Après tout, dit-on, chaque parti politique qui se respecte se doit d’avoir une présence sur Twitter et Facebook.
Le pape est peut-être infaillible, mais il n’est pas sans défaut, comme on a pu s’en rendre compte dernièrement avec sa soudaine démission ou plutôt, devrais-je dire, son abdication.
Demandez à des nouveaux arrivants pourquoi ils sont venus poser leurs valises à Vancouver, et beaucoup vous donneront une réponse logique, une raison valable, comme un semblant de réflexion dans leur choix – une offre de travail, des proches, des études, un intérêt particulier pour la fameuse West Coast… Personnellement, j’y ai élu domicile par le plus beau des hasards, du haut de mes 19 ans et forte d’une expérience universitaire à Ottawa, avec une vague idée de ce qui pouvait bien m’attendre.
Certains auront peut-être reconnu la question posée par le chanteur Patrick Juvet il y a de nombreuses années. Et bien, il semble bien qu’une partie de réponse que l’on peut donner à cette question c’est dans les officines du pouvoir. Plus particulièrement, au Canada, dans les bureaux réservés aux premières ministres.
